Quand vous entrez à Redjas,vous êtes tout de suite saisi par le charme et la beauté de ses lieux,car tout vous invite à l'aimer:les fleurs, les plantes, les paysages,ses rues,ses habitants...Il suffit juste de respirer une bouffée de son air pur pour vous sentir attiré par une puissance invisible qui vous captive et vous enivre, et vous devenez prisonnier, malgré vous, de sa grâce. La fascination est incontrôlable, et sans vous en rendre compte, vous tombez sous le joug de sa séduction....et vous ne voulez plus partir.Le visiteur d'un jour, de la ville,subjugué par le charme de la cité, tombe en extase devant sa beauté et ne reprendra ses esprits que lorsque la cloche de l'horloge qui date des années 50, le réveillera de sa léthargie.Il aimera davantage la ville ,et dans son for intérieur, décidera de revenir une aure fois, revisiter la ville,ne serait-ce que pour quelques minutes. L'on raconte qu'un homme du centre du pays, ayant visité la ville en 1963, est revenu la revoir en 2005, expliquant aux autochtones que "Une envie folle m'avait poussé à revenir à Redjas, je ne sais trop pourquoi...et il a fallu que je revienne pour assouvir cette envie qui me tenait et le jour où je l'ai revu, ce fut, pour moi, une véritable délivrance." Toute personne, amoureuse du beau et de la nature, pourra découvrir à Redjas ce qu'elle recherche, car la verdure, la sérénité, le calme, la beauté et l'hospitalté s'y conjuguent au quotidien. Redjas est un vrai havre de paix et quiconque le visite, ne serait- ce que le temps de prendre un café, l'aimera , c'est une fatalité. Peut-on ne pas aimer Redjas ? La réponse appartient aux éventuels visiteurs. ZAOUI Abderaouf dit Madjid
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